“I saw at a glance that your case was exceptional, and that you also were Occult”: Comedy, magic and exceptional disabilities in Stella Benson’s Living Alone (1919)

C’est peut-être à cause de son dialogue paradoxal entre la comédie absurde, le fantastique et réalisme psychologique, ainsi qu’à du rôle incontournable des exceptions dans sa diégèse que Living Alone (1919) Stella Benson a attiré peu d’attention critique. Le roman articule en effet l’humour, magie souffrance ; il met scène deux personnages exceptionnels, une sorcière anonyme (dont les pouvoirs magiques contrastent avec incapacité ressentir quelque émotion) l’héroïne Sarah Brown qui ne parvient pas interagir personnes qu’elle côtoie, notamment santé défaillante manque d’enclin socialiser. Cet article vise contextualiser l’exceptionnalité texte et, s’appuyant sur travaux récents issues affect studies disabilities studies, explorer comment expériences exceptionnelles ces marginaux, apparence toute-puissante protagoniste handicapée particulièrement perspicace fine, sont construites, transmises remises question.